«Cette ville est la seule ville de Suisse qui a un nom religieux, et nous devons arriver en toute sincérité à une meilleure connaissance mutuelle », a-t-il dit.
Le Dr. Abouzar Ebrahimi, président de l'ICRO (Organisation pour la culture et les relations islamiques), a déclaré que malheureusement, des gens qui se considéraient comme responsables de présenter la religion, n’avaient pas les capacités requises et en donnaient une image violente.
« Le monde avance à grande vitesse, vers un déclin spirituel que seule la coopération des religions peut arrêter. Nous devons chacun dans la mesure de nos moyens, travailler au dialogue et au rapprochement des religions », a-t-il dit.
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