Il a souligné que le coût des interventions de l’État pour tenter de corriger cette situation sociale s’alourdit davantage chaque année.
Présentant le bilan des activités du Conseil supérieur des oulémas (CSO) devant le Roi Mohammed VI, à l’occasion de la cérémonie religieuse organisée jeudi soir en commémoration de l’Aid Al-Mawlid Annabaoui, le ministre a insisté sur « l’urgence de renforcer le référent religieux».
Il a précisé que le besoin est « pressant et incontournable de consolider l’ancrage du Coran par une transmission guidée et explicite, nécessitant une vigilance généralisée touchant l’ensemble de la société ».
Cette vigilance, a-t-il poursuivi, doit particulièrement être assumée par les responsables du développement, « quels que soient leurs domaines et leurs fonctions », en tant qu’éveil de conscience nourri par l’éthique et permettant une juste perception de la religion.
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