Selon News Room, dans un communiqué officiel, le Conseil a qualifié cette dynamique internationale de tournant historique en faveur de la justice pour le peuple palestinien, appelant à la reconnaissance d’un État indépendant avec pour capitale Jérusalem.
Il a réaffirmé son soutien à tous les efforts arabes et internationaux visant à une solution juste et globale au conflit palestinien, et a exhorté la communauté internationale à mettre fin aux agressions contre Gaza, à protéger les civils, à permettre l’acheminement de l’aide humanitaire et à stopper les politiques de déplacement forcé et de famine.
Lors d’une conférence internationale à l’ONU à New York, co-présidée par la France et l’Arabie saoudite, quinze ministres des Affaires étrangères, dont ceux de la France, du Canada, de l’Australie et de la Finlande, ont exprimé leur volonté collective de reconnaître la Palestine.
Neuf d’entre eux, dont le Canada et la Nouvelle-Zélande, ont pour la première fois exprimé une intention positive. Ces pays ont réaffirmé leur attachement indéfectible à une solution à deux États.