Selon Al Jazeera, dans cet enregistrement, Valentina Gomez, l’ancienne soutien de Donald Trump a promis, en cas de victoire électorale, de « mettre fin à la présence de l’islam au Texas ». Cette déclaration et ce geste, jugés haineux, visent à séduire certains groupes d’extrême droite dans un climat politique déjà tendu.
Cette provocation a entraîné de vives condamnations de la part de responsables politiques, de groupes religieux ainsi que d’internautes, qui dénoncent une incitation à la haine et une atteinte grave à la liberté de culte. L’incident intervient à l’approche des élections de mi-mandat de 2026, alimentant les craintes d’une recrudescence des discours extrémistes et de la polarisation dans le pays.
Ce n’est pas la première fois que Gomez recourt à des actions spectaculaires pour attirer l’attention. En décembre 2024, elle avait publié une vidéo où elle tirait sur un mannequin représentant des migrants, appelant à leur exécution publique.
Malgré ces gestes controversés, elle n’avait obtenu que 7,4 % des voix lors d’une précédente primaire républicaine, terminant loin derrière ses rivaux.