Les religieux, qui affirment en être propriétaires, accusent le maire Jean-Baptiste Diouf de « tentative d’appropriation » après la démolition d'un mur de clôture et le lancement de travaux sur le site, rapporte L'Observateur dans son édition du vendredi.
De son côté, la mairie, citée par la même source, réfute toute spoliation, soutenant que l'espace est une voie publique relevant du domaine communal, et qu'elle n'a jamais envisagé d'y construire un centre commercial, mais plutôt de le paver pour l'intérêt général.
Pour mettre fin au litige, glisse le quotidien du Groupe futurs médias, la sous-préfecture a demandé aux Imams de fournir des preuves de leur statut de propriétaires. En attendant, la tension persiste, chaque camp campant sur ses positions, avertit L'Observateur.
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