Selon Al3omk Almaghribi, réalisée par le chercheur marocain Mossaab Charkawi, cette étude s’intitule « Les manuscrits coraniques anciens : une approche codicologique et paléographique ».
Elle analyse quatre copies antiques du Coran à travers leurs caractéristiques physiques – papier, encre, cuir – ainsi que les styles d’écriture arabe utilisés à l’époque.
Parmi les manuscrits étudiés figurent des exemplaires d'une valeur historique exceptionnelle comme le manuscrit de Birmingham, reconnu comme l’un des plus anciens du monde, ainsi que le manuscrit doré et celui des Mérinides.
Le travail du chercheur reflète l'engagement de l’Institut à promouvoir les recherches coraniques dans des langues étrangères, contribuant ainsi à la diffusion des savoirs et à la rectification des idées fausses sur l’islam.
Mossaab Charkawi a exprimé sa fierté d’être le premier à défendre une telle thèse en anglais au sein de l’Institut, espérant inspirer d'autres étudiants à s’ouvrir à la recherche internationale.